

Qui vient à moi n'aura jamais faim !
(Jn 6.35)
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Ces trois titres de Mgr Gaume, réunis en un seul volume dans cette belle édition de qualité, forment une harmonieuse unité, constituant un recueil précieux pour les familles chrétiennes désireuses de préserver les traditions les plus chères de l’Église, à transmettre aux générations futures.
Signalons également, dans la même qualité d'édition, les trois autres titres : LA GÉNUFLEXION, L’EAU BÉNITE et LE CIMETIÈRE.
Le Signe de la Croix est l’arme précise contre le démon. Immédiatement instruits par les Apôtres, les premiers chrétiens en avaient pleinement conscience. En lutte incessante avec Satan, dans toute sa puissance et sa cruauté, régissant les mœurs, les idées, les arts, les divertissements, et les lois, maître des autels et des trônes, souillant tout et faisant de tout un instrument de corruption, ils avaient constamment recours au moyen infaillible pour dissiper le charme ensorcelant et parer les flèches enflammées de l'ennemi. Ainsi, l'usage continuel du signe de la croix est devenu pour eux un exorcisme perpétuel : "Quacumque nos conversatio exercet, frontem crucis signaculo fecimus."
Aujourd'hui, toutes les traditions chrétiennes sont attaquées et mises en péril. Défendre ces traditions au sein de la famille est un devoir essentiel. Car sans famille chrétienne, il ne peut y avoir de société chrétienne. Tel est le dessein de cet ouvrage et de ses prédécesseurs : le Signe de la Croix, l’Eau bénite, l’Angélus, la Genuflexion, le Cimetière.
La récitation quotidienne de l'Angélus, cette prière multiséculaire, constitue une protestation publique et quotidienne contre le naturalisme. De plus, elle s'inscrit plus que jamais dans le mouvement prodigieux qui, depuis le XIXème siècle, pousse les catholiques à se tourner vers l'auguste Vierge, dont la mission éternelle est d'écraser la tête du serpent.
En couverture, une peinture sur toile de Jean Laronze (1852-1937), exposée au musée d'Orsay.
Nombre de pages : 416 (1 volume)
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