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Qui vient à moi n'aura jamais faim !
(Jn 6.35)
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Le scapulaire vert du coeur immaculé de Marie avec cordon
"Coeur Immaculé de Marie, priez pour nous maintenant
et à l'heure de notre mort"
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La Sainte Vierge fit comprendre à Sr Justine BISQUEYBURU (France, 19ème) que ceux qui porteraient ce scapulaire et diraient avec foi chaque jour la prière Coeur Immaculé de Marie, priez pour nous maintenant et à l'heure de notre mort, recevraient de grandes grâces parmi lesquelles celle de la conversion et d'une bonne mort. Approbation du pape Pie IX.
Sur une face, image de la Vierge Marie en robe blanche et manteau bleu, tenant un Coeur aux flammes ardentes , sur l'autre face, image du Coeur enflammé, transpercé d'un glaive et entouré d'une croix et de la prière à réciter.
Images couleurs, cousues sur tissu de coloris marron, format 4,5 x 6,8 cm.
Le scapulaire vert et son origine
Le scapulaire vert, qui peut être porté par tous, provient du Ciel : c'est par l'intermédiaire d'une soeur de la Charité, Soeur Justine Bisqueyburu, que la sainte Vierge nous a donné le scapulaire vert. Elle reçut la révélation du scapulaire vert en 1840.
Description du scapulaire vert
- d'un côté la sainte Vierge telle qu'elle apparut à Soeur Justine Bisqueyburu
- de l'autre côté un Coeur percé d'un glaive, surmonté d'une croix et d'où sortaient des flammes abondantes ; tout haut tour de ce coeur il y avait une inscription en oval : "Coeur Immaculé de Marie, priez pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort".
Le scapulaire vert, à quoi sert-il ?
Le but du scapulaire vert est la conversion des âmes, particulièrement des grands pécheurs et des infidèles afin de leur procurer une bonne mort. Ce scapulaire ne nécessite pas une imposition spéciale il suffit de le bénir selon la formule générale utilisée pour les objets de piété.
Pour obtenir la grâce demandée il suffit que la personne porte au tour de son coup le scapulaire vert et qu'elle récite avec confiance la prière "Coeur Immaculé de Marie, priez pour nous, maintenant et à l'heure de notre mort". Si la personne refuse de porter le scapulaire et tout secours de la religion, le scapulaire vert peut encore le sauver : il suffit de le mettre, même en cachette, sous son oreiller ou son matelas et une personne pieuse doit réciter avec confiance à sa place la prière. C'et de cette manière que l'assassin de Mgr Affre c’est converti en 1859. (Voir l’histoire sur ci-dessous)
a conversion de l’assassin de Mgr Affre
Le 25 juin 1848, Mgr. Affre, archevêque de Paris, tombait sur les barricades de Paris, victime d’un insurgé. Mais jamais l’enquête officielle, immédiatement ouverte, ne put donner de nom, ni de visage au meurtrier.
En 1859 un membre de la conférence Saint Vincent de Paul avertit les sœurs de la Charité de la présence sur la paroisse Saint Paul-Saint Louis, quai des Ormes, d’un homme en danger de mort qui refuse les derniers sacrements.
« Je visite cette famille depuis des années. J’espérais réussir auprès du malade et le faire confesser, mais je vois que je n’obtiens rien, au contraire. Le malade est tellement aigri, qu’aujourd’hui il m’a mis à la porte. Il ne veut pas entendre parler de prêtre, il veut mourir sans sacrement. Je suis désolé, et je viens vous supplier, ma Sœur, d’envoyer une de vos sœurs visiter notre pauvre malade, espérant qu’elle réussira mieux que nous ».
Le jour suivant, la sœur Mélanie (Louise Puntis) se rend au chevet du malade. Mais la douceur de la religieuse ne put venir à bout du pêcheur. Tout n’était cependant pas perdu.
« Nous étions déconcertées, désespérant de pouvoir décider ce pauvre moribond à recevoir le prêtre, lorsqu’il nous vint en pensée de faire demander le scapulaire à ma Sœur Buchepot. L’ayant reçu, nous le plaçâmes dans son lit, sans qu’il le vit ; puis l’ayant abordé, nous lui demandâmes de ses nouvelles. Il nous répondit qu’il allait très mal, parce qu’on le tourmentait pour le faire confesser. “Et si vous venez pour cela, vous pouvez vous retirer, ajouta-t-il, je veux mourir tel que je suis, sans voir de prêtre” ». Sans doute, lui dîmes-nous, vous êtes libre de recevoir un prêtre ou de ne pas le recevoir, comme aussi de vous sauver ou de vous damner. Vous savez qu’il y a un ciel pour les bons et un enfer pour les méchants. Choisissez, vous êtes le maître ».
« Laissez-moi tranquille, nous répondit-il, je vous prie de vous en aller et de ne plus revenir si vous n’avez que cela à me dire ».
Nous étions navrées de son obstination. Il se répandait en blasphèmes contre Dieu, contre Marie ; et nous le quittâmes toutes désolées de ce que nous venions d’entendre, mais nous laissions le scapulaire.
Marie toute puissante allait triompher de ce cœur. A peine étions-nous de retour à la maison qu’on vint nous chercher. Le malade nous réclamait ; il voulait communiquer à la Sœur une chose très importante. Elle s’y rend en toute hâte, toute préoccupée et craignant qu’on vînt lui annoncer la mort de ce pauvre mourant.
« Je vais mourir, dit-il à la Sœur, je le sens. Je ne puis paraître devant Dieu dans l’état où je suis. Je ne sais ce qui se passe en moi. Je désire voir un prêtre. Mais, ma Sœur, je ne pourrai pas recevoir les sacrements ; je ne suis pas marié, puis ma femme est protestante. Il faut des dispenses, et l’on n’aura pas le temps de les aller chercher à l’archevêché. Je suis si coupable ! Vous avez devant vous un assassin : c’est moi qui ai tué Monseigneur Affre sur la barricade du faubourg Saint‑Antoine. Je n’oserai l’avouer qu’à un seul prêtre, M. Dumas, premier vicaire à Saint Paul-Saint Louis. Allez me le chercher, ma sœur, et dites-lui que le malade qui le fait appeler est l’homme qui lui donna la main pour l’aider à descendre de la barricade, au moment où Monseigneur fut tué, et qui le reconduisit à son domicile l’arme en main. Faites-lui ma confession ; il me reconnaîtra, j’en suis sûr ».
« Le voyant si surexcité, nous lui fîmes faire une courte prière et l’invocation du scapulaire vert, qu’il baisa avec respect. « Allez vite, ma Sœur, disait-il, je vais mourir, vous n’aurez pas le temps ». Mais Marie, refuge des pêcheurs, qui venait d’opérer un si grand miracle, pouvait bien en faire un nouveau.
« M. Dumas arrive de suite, s’approche du lit, parle au malade et le trouve dans la disposition de se confesser ; ce qu’il fit aussitôt dans toute la sincérité de son âme, et témoignant le désir de faire la sainte communion.
« Mais il fallait obtenir de l’archevêché les dispenses nécessaires pour le mariage. Vu le danger pressant, M. Dumas pensa d’abord qu’il pouvait les supposer, mais, espérant en avoir le temps, il se rendit promptement à l’archevêché pour les obtenir. Le malade paraissait mieux. Il l’était effectivement, son âme était tranquille, et goûtant une paix qu’il ne comprenait pas, nous disait-il, une paix du ciel.
« Le prêtre ne fut pas longtemps à revenir muni de toutes les dispenses, et notre cher malade put recevoir le sacrement de mariage. Alors, désirant voir entrer son épouse dans le sein de l’Eglise catholique, « il faut, lui dit-il, que tu me promettes d’abjurer ». Sa femme le lui promit et tint parole ; quelques mois après elle faisait son abjuration dans notre chapelle.
« Quand M. Dumas arriva avec la sainte Eucharistie, le malade se dressa sur son séant, l’adora profondément et tomba en larmes, demandant pardon à haute voix. Le prêtre l’engagea à mettre sa confiance en Dieu, et après une courte exhortation, lui donna (suivant le rite parisien) d’abord l’extrême-onction, puis le saint viatique, que le malade reçut avec foi et amour. Il ne cessait de pleurer, répétant : « C’est à Marie, refuge des pécheurs, que je dois ma conversion ».
« Une heure après, il rendait son âme à Dieu. »
Telle fut l’une des premières et des plus belles victoires du scapulaire vert.
Référence: 1792_0
Porte monnaie des Archanges
Référence: 1800_0
Chapelet enfant
Référence: 1786_0
Rosaire du combat
Référence: 1826_0
CHAPELET SAINT ANTOINE DE PADOUE
Référence: 1425_0